L’espèce
humaine, de secondes en secondes, de minutes en minutes, d’heures en heures, de
jours en jours et déjà des mois durant, se réduit en nombre inimaginable. Les
grandes puissances du monde semblent ne plus avoir de puissance face à cette
ravageuse pandémie. Les autres pays appelés « pays faibles » tous
sous le coche, ne savent plus à quel saint se vouer étant donné qu’ils sont
connus d’être des pays à « économie dépendante ». Pour des pays où le
budget peine à atteindre les deux milles milliards (devise selon les pays),
l’espoir se trouve être mince qu’une aiguille. Plus question de plus riches, de
plus pauvres, de plus forts ou même de plus faibles car tous sont désormais
traqués par un même mal et qui ne fait visiblement pas de cadeau. Le monde
enregistre, de façon journalière des milliers de morts, de cas positifs causés par
l’ennemi commun(covid19) et qui est dévoué dans sa démarche de destruction
massive.
La lutte
contre cette violente maladie au coronavirus diffère de pays en pays. Cette
différence de plan de riposte des pays est centrée sur la capacité économique
de chacun d’entre eux et pas uniquement cet aspect car il se trouve entouré par
des comportements sociétaux de tous niveaux. Certes l’argent a une impérieuse
place dans la gestion de nombre des phénomènes mondiaux mais pour autant ce
rôle que joue l’argent est sans nul doute garanti par les comportements sociétaux
qui raffinent le tout.
En Europe, en
Asie, en Afrique, en Amérique et dans tout le reste du monde, les autorités
font tout pour freiner la pandémie avec des plans de solidarité, des plans de riposte
médical, des plans de limitations de la propagation de la maladie ou
confinement, des plans d’assurance de la continuité des activités fondamentales
de la vie humaine, tout pour sauver l’humanité une fois de plus. Il faut le
dire très ouvertement, l’organisation et le fonctionnement des sociétés font que
ces « politiques de sauvetages » n’ont pas un effet uniforme et
universel. Pour ce faire, l’exemple africain intervient. En effet, en Afrique
les réalités sont autres car la société étant majoritairement « indigène »,
pour qui le gain du pain quotidien est une victoire héroïque. Les mesures comme
le confinement, le télétravail, le respect strict des mesures barrières sont
pour l’heure très difficiles pour être rigoureusement appliquées.
Nous voulons
être tous narrateurs de cette mauvaise situation que le monde subit
actuellement, pour alors être des survivants, il faudrait sans doute se rendre
à l’évidence. Le monde entier doit faire appel à son sens de descendants d’Adam
et Eve pour enfin de laisser de cotés nos différences raciales, ethniques,
historiques, géographiques et même mettre nos intérêts stratégiques en pause
pour sauver le monde tout en étant uni. Connaissant la force de frappe de ce
virus, il ne sert plus à rien de faire une lutte individuelle car seul on est
faible mais ensemble, nous aurons le bénéfice de la force du nombre et nous réussirons
à vaincre le mal que sème le coronavirus. L’union des pays du monde devient
alors une clef pour que l’humanité sorte de ce chaos car il serait injuste qu’une
partie de la population mondiale disparaisse et que l’autre partie festoie
après la pandémie du Covid19. Il relève à présent de la responsabilité de nos différents
dirigeants de joindre leurs politiques, faire du coronavirus l’ennemi commun afin
de casser les ailes de cette maladie et mettre fin à ce théâtre morbide que
connait le monde. Aussi, les initiatives individuelles venant des personnes à
grands moyens pour soutenir soit les États dans leurs programmes de lutte
contre le covid19, soit plus directement les populations nécessiteuses. Ces
actions sont très salvatrices car cette affaire en lien avec la propagation de
la maladie au coronavirus, aucune aide ne serait de trop pour combattre cette
maladie.
Malgré le
grand ravage que fait le virus, des sociétés sembles négligées ou ne même pas
croire en son existence parmi nous, au sein de nos familles, dans nos
quartiers, dans nos petites et grandes villes. Ces populations ne voient
peut-être pas la publication de ses malheureux chiffres, ces regrettées
personnes qui partent sans protocole funèbre. D’autres arrivent même à dire que
cette maladie épargne des races, où en sommes-nous actuellement ? il
faudrait cesser de négliger ou d’ignorer à dessein l’existence de cette maladie
dont la contagion se compare à la vitesse du vent. Nous devons clairement voir
les choses en face et faire tout pour que le coronavirus n’ait pas raison sur
le commun des mortels.
Pour contenir
le mal du coronavirus, il faudrait que les vertus tels le partage, la
responsabilité, l’entraide, l’humanisme, la patience reviennent dans tous les
quatre coins du monde. L’humanité est plus forte que cette maladie et pour la
repousser hors de nos cadres de vie, nous devons croire à l’intelligence collective
pour la recherche des solutions efficaces et qui peuvent servir à tous. Nous
devons sans relâche soutenir nos scientifiques, nos personnels soignants déjà
sur le terrain de la lutte contre le covid19, nos forces de l’ordre et autres
corps impliqués pour leurs sacrifices, leur dévouement. Le monde s’en sortira
certainement.
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