Rétablir un lien fort de confiance entre les gouvernants et les gouvernés au Mali

 

Le CCRM en ordre de bataille     

Lors d’un point de presse organisé dans une de leur local à l’ACI 2000, le samedi 03 octobre dernier, les militants du CCRM ont procédé à la déclaration de la création d’un nouveau collectif dénommé ‘’ Collectif Citoyen pour le Renouveau du Mali (CCRM)’’. Étaient au présidium : le coordinateur général dudit collectif, M. Sidi DJIRE, le porte-parole, M. Hamadoun SANOGO et plusieurs de ses membres comme, Me. Bamba Aminata KONATE,  Papa OUANE, Boubacar TRAORE et Penda BARRY.

Le principal, l’objectif du CCRM est d’agir pour le changement au Mali à travers un rétablissement de lien de confiance entre les autorités et les citoyens.

Considérant les différents maux qui gangrènent le développement du Mali, aspirant à un Mali nouveau avec des valeurs et des principes qui régissent toute société moderne et modelée, le CCRM demeure conscient qu’agir de manière individuelle dans le contexte actuel de notre pays, qui est affecté par une crise sociopolitique et économique, ne serait pas efficace et durable, mais plutôt l’unification des forces vives de la nation dans l’étendue du territoire Malien et dans la diaspora pour le Renouveau du Mali.

Nos objectifs sont entre autres ; développer des solutions en fonction des problèmes du moment, participer au développement intégral et durable d’un nouveau Mali, accompagner les autorités politiques pour l’émergence du Mali, combattre la mauvaise gouvernance dans toutes ses formes, accompagner les forces de l’ordre pour la sécurité des personnes et des biens à travers des structures qualifiées et de qualité, promouvoir l’appui et la mise en place des structures d’accompagnement pour le retour de la diaspora Malienne, inciter, impliquer, accompagner et responsabiliser les femmes dans la vie sociopolitique et économique du Mali, promouvoir l’entreprenariat jeune au Mali et dans la diaspora, participer à la consolidation de la démocratie et de la paix, combattre l’injustice, l’impunité et la corruption sous toutes ses formes, faciliter le retour des déplacés dans le centre et le nord du Mali, renforcer la citoyenneté et la cohésion sociale, faire la promotion de l’excellence, promouvoir l’éducation, la formation et l’emploi, promouvoir la santé et le respect des droits humains et civisme.

Notre collectif est composé de 13 pôles qui sont des organes de concertation et de travail qui ont comme principal taches d’identifier les différents problèmes et difficultés de leur domaine respectif et ensuite proposer des solutions et actions communes sous forme de projets ou d’activités aux autorités concernées, a laissé entendre le coordinateur général, M. DJIRE.

Issa D. MORBA

Repas de corps au SNJ

 

Une pratique ancienne qui renforce la cohésion et l’esprit de corps

Les locaux du service National de la jeunesse ont servi de cadre, le vendredi 02 octobre 2020 pour un repas de corps géant organisé par ledit service. C’était en présence du représentant du secrétaire général du ministère de la jeunesse et des sports, M. Moustapha DIAWARA, le président d’honneur de l’amicale des anciens du SNJ, M. Drissa GUINDO, le conseiller technique du SNJ, le directeur du centre de formation de Bafo et de plusieurs officiers, sous-officiers et homme de rang.

Selon le directeur  adjoint, M. KOITE, ce repas participe aux renforcements de liens de fraternité et d’amitié, une tradition ancienne encrée depuis dans les traditions militaires. Elle participe également à l’esprit de corps entre corps mais aussi rend hommage aux victimes tombés sur le champ de l’honneur. La nouvelle formule du SNJ est en marche qui vient de reprendre ; bientôt les bonnes nouvelles seront annoncées pour les reliquats des hommes de rang et vous serez tous aux anges, je n’en dirai pas plus soyez en sûr que nous allons tous ensemble être à la hauteur de cette espérance. Donc je vous demande tout simplement un peu de patience, vous partirez tous défendre notre patrie incha allah, a-t-il ajouté.

Pour le commandant, Dramane SOUNTOURA, le repas de corps est une pratique les plus anciennes au niveau de l’armée, une pratique aussi vielle que la vie. C’est un système qui vise à renforcer les honneurs et surtout le partage, l’entraide... Le repas du corps est un moment idéal et unique ou le directeur du service puisse partager le plat avec ses subordonnés (soldats, plantons, et autres). Pour la première fois, nous avons fait ce repas de corps au camp de Kati en 1980 dans chaque garnison militaire. Il est un moyen efficace qui remonte le moral des soldats d’avoir partagé cette joie avec les autres, a-t-il conclu.

Issa D. MORBA